Voici un petit RP... ce n'est que là moitier, il n'est pas encore finis

Mon père m'avait prévenu avant sa mort, que mes lendemains serait couvert par le malheur et la corruption , étant jeune et simplet d'esprit , je pensais que tout ceci était l'œuvre de mère destinée , je croyais que ma vie aussi insignifiante sois telle ne serait que le fantôme de ce que je fus autrefois.

Suis je réellement fait pour vivre en cette terre naturelle , berceau de la civilisation des anciens dieux de notre époque, couverte par les êtres organiques que nous sommes, mais , dans mon doute l'espoir survient et guide mes pas au travers d'un chemin semé de bonne et mauvaise chose.

J'aime désormais ce qui m'entoure , je me délecte de la fraiche senteur de cette nature arborant des plaines s'étendant à des kilomètres à la ronde.
En moi un cœur autrefois putride, devint un joyaux d'une extrême rareté , cette découverte je la dois à des hommes et femmes appeler amis, ils m'ont fait découvrir des joies insoupçonnées , des rires et de l'amusement .

Avec eux mon évolution fut complète et en retour je leurs est rendus la totalité des cadeaux fait , un sens du partage me dirais vous , oui je l'est aussi appris .
Bien évidement, mes rêves de vengeance prirent fin à la seconde même ou la confiance , un mot totalement inconnu , m'ouvrit une seconde porte.

Le monde me paru clair, mon dégout de toute forme de vie s'amenuisa, puis disparu.
être maléfique par le passé , ange de la bienfaisance dans le futur je vie désormais pour le bien de mes proches , je m'extirpe des chimère rageuses d'une vengeance contraignante pour l'avenir.
Je ne suis ni un héros, ni une légende , en mon âme et conscience je reste l'enfant des Tsaphars.

Voulez vous savoir ce que signifie Zerow ?
Pour moi cette appellation est plus qu'un enchainement de lettre sans sens , pour les Tsaphars elle est synonyme de fin, chaos, destruction....
Non, En réalité "Zerow" signifie le renouveau d'une âme déchus, ce n'est que le commencement d'une nouvelle existence, la où le bien trouvera sa place.

Je me nargue de compter les années qui défiles aussi rapidement que de misérables gouttes de pluie, ma patience fut étonnante et les bonnes nouvelles couraient à foison.
Pour un fois, je prenais plaisir à me détendre et profiter de la vie, Huum, j'avais oublié la souffrance et me concentrer sur mes travaux en alchimie.

Oubliez tout un passé dans un tas de livre d'étude, cela semblais facile et je n'avait rien à perdre mais tout à y gagner,
de l'alchimie basique en passant par la transmutation, pour finir à la confection de sceaux de niveaux supérieur , il y en avait de quoi faire pâlir plus d'un .
Inutile de lire un seul ouvrage quand vous disposer d'une gigantesque bibliothèque privée , un amoncèlement de rouleaux sacrés classé par ordre alphabétique tous ranger en file indienne, que du bonheur.

Je passais mes journées entière dans cet pièce close illuminer par six lampes à huile fixée au plafond, l'odeur d'encre frais se glissait avec tendresse dans mes narines , faisant découvrir un somptueux parfum de connaissance.

C'est ici que mon âme trouvait la paix intérieur, entre les lignes
et les gravures qui se chevauchaient, elles donnaient cet influence énigmatique qui attirait ma curiosité.
Ce n'est que dans un début de tristesse que ce lieux lucratif m'accueille à bras ouvert, en m'isolant de l'extérieur pour me protéger tout comme une mère le fait pour son enfant .....

J'arborais lors des heures creuses un lourd voyage, peut être avais-je envie de quitter mon calvaire un instant....
Je pleur de chagrin alors que le monde tourne toujours plus vite, deux mois , il ne me reste que deux mois à vivre avant la fin de mon histoire .

Cette chose malicieuse qui emportera ma vie se nomme "First "
fléau génétique craint par les Tsphar, une maladie inconnu transmise par nos ancêtre à l'aube des temps.
Elle se déclare principalement à quinze ans lorsque le corps entame sa transformation, First s'attaque au système sanguin en premier lieux et touche le réseau de la vie " veine" , engendrant la détérioration complète des tissus sanguins qui avec l'évolution du virus fragile tout le système cardiovasculaire.

Les globules rouges ainsi contaminées encrasse les artères principal se qui provoque en phase un , des spasme douloureux et rejet de sang par voix orale à la phase trois c'est la mort.
Et moi, Je suis maintenant en phase deux et je n'est jamais eu aussi peur de mourir qu'à cette instant précis, pourquoi cela arrive alors que je découvre tout le bonheur qui m'entoure....

Je ne dors plus, ne mange plus et tremble de peur, oui j'ai peur de voir la fin qui m'attend, elle ressemblera à celle de mon père qui à souffert pendant deux longues heures tendit que ses vaisseaux se bouchait entrainant l'éclatement du cœur.

Je me sentais si mal à l'idée de voir son image meurtrie que je referma d'un coup de main le bouquin du célestium of first , puis je me leva délicatement en faisant grincé la chaise sur le marbre.
J'interpelai le bibliothécaire centenaire qui ne tarda poins à venir me voir me fixant de son air inquiet et interrogateur, je lui donna mes directives et quitta l'antre de la connaissance en traversant les allées bondé d'étagères doré, les gravures murales et la décoration bourgeoise ne m'interpelèrent guère et je disparue à travers les immenses portes en bronze marqué du sigle Ookami.




Je venais de mettre un pied dans ce que l'on pouvait appeler le centre ville, le vent sec et les odeurs d'épices se sentaient à des kilomètres , les marchants de toutes sortes déambulaient dans les quartiers hurlant pour attiré la foule au porte monnaie aussi gros qu'une maison.
J'aimais bien cet ambiance de fête, ce qui me poussa à me fondre dans le décors , malgré tous qui se disais sur ma personne je marchais dans les rues larges cheveux virevoltant , munis de ma tenue de combat en cuir noir faite sur mesure sur laquelle on distinguais des épaulières noir dont une équipé du blason de l'alliance SOW.

Je gardais mon Katana d'énergie noir dans son fourreau respectif , celui ci était attaché sur ma ceinture de combat
qui claquait à chacune de mes avancées.
Ce grand bol d'air était une occasion pour dispatcher les travaux à faire , ce qui me permettrais d'oublier pendant un court instant la maladie.

J'avais un rendez vous réserver la veille au haut conseille suite au problème rencontré dans la mise en place des ailes est et ouest de notre domaine, les permissions de construire avait été pris en compte par le consulat, mais, comme tout fonctionnaire je n'avais reçu aucune réponse et cela depuis trois semaine .

La poudre allais parlé, une chose que je détestais le plus au monde était l'attente ou l'ignorance aux papiers administratifs, les bougres, je devrais en faire un scandale ce qui me tuerais d'ailleurs, à force de nerf on fini tôt ou tard par craquer .

Après cette réfléxion j'entre vue enfin les pilonnes du consulat des sorciers, magnifique, resplendissante comme toujours.
La baptise à l'allure de panthéons blanc m'attirait dans ses filet, et pauvre alchimiste que je suis je me laissais porté vers son antre .

Je gravis les marches en soufflant d'ennui, poussa les portes et me précipita à l'accueil visage couverts de colère, la secrétaire avachis sur sa chaise me reluquais de haut, tiens cela me rappelais ce jour ou j'avais détruit le mur de ma chambre en tentant de crée un sceau d'illusion, bizarrement la salle de banquet en face avait pris comme qui dirais une belle décoration inutile de dire les retours de mes confrères.

Bref, je jeta un rouleau sur son bureau comme signe de mécontentement et j'attendis sa réponse de pied ferme.

Si c'est pour un dépôt de plainte c'est à gauche, pour un recrutement de nouveaux sorcier c'est à droite , en cas de conflit inter clan veuillez prendre le guichet b37 au deuxième étage ......

..............

Me prenait elle pour un imbécile, ou s'amusait elle à joué avec mes nerfs ?
Sa réponse fus si froide que j'en ressentis tous les frissons me parcourir comme la sueur, bouche grande ouverte je réfléchissais à ma réponse de retour désagréable, mure réfléxion faite je n'y ferais rien et patienterais dans la salle de réunion sur le coté.

Elle retourna à ses futiles occupations comme si je n'avait jamais existé dans les quelques minutes ou son subconscient avait agis, fichu fonctionnaire incompétent.
D'un coup de pied j'ouvris la porte de la salle regardant à droite puis à gauche, et la seule personne présente était une jeune femme assise, je força mon regard vers elle en me dirigeant vers une chaise en fer que je tirais en arrière avant de m'assoir, posant mes deux pieds sur la table pour être plus confortable j'observai une fois de plus mon opposante.

Je trouvais le temps long et maussade, mon impression de vide s'intensifiait à mesure que l'affaire importante qu'y devait être traité il y'à plusieurs semaine s'éternisait, pauvre de moi, la mort m'attend et il ne sont pas fichue de régler un petit détail administratif qui m'éviterais un déplacement inutile, mais hélas Tsaphar je suis Tspahar je resterais , nous sommes des reniés de la société actuelle, pourquoi prenaient t'ils autant de temps pour satisfaire ma demande ?Il savaient que j'allais mourir dans deux misérable mois , pour eux l'occasion de me voir disparaitre pour toujours se présentait à cette instant, pauvre fou il n'ont aucune idée des motivations qui me pousse à survivre ......

J'écumais l'air ambiant de cette salle de réunion, et regardais cette demoiselle au allure guerrière, sa tenue de combat m'inspira mainte chose, de là j'entrevoyais un grade propice " consul" .
Bien évidement ma surprise ne fut que courte, le blason qu'elle portait me renseigna sur le clan qu'elle dirigeait, hum, en fin de compte je ne suis pas seul.

Je la regardais encore et encore, mes yeux scindés au couleur de cristal
s'acharnait pour je ne sais qu'elle raison, en elle se cachait une force non négligeable, cet même force restera le berceau de son existence.
Son cœur était saint se qui me donna le sourire à l'instant, je voulais en savoir plus, découvrir qui se cachait derrière ce voile de puissance.
Nombreux furent ceux que notre sénat avait rencontré en guerre, ni le conflit ni la haine ne s'immisçait au sein de nos ententes cordiale, nous cherchions la paix durable.

Peut être qu'un premier pas aurait été un moyen de faire plus ample connaissance, même si les temps furent dur, nous pouvions trouvé une personne avec qui l'on partagerais des opinions ou des convictions sur le monde d'aujourd'hui, On ne devais se limité au grade , conflit ou simplement sur le fait que l'adversaire soit inconnu, un homme ou une femme telle qui sois doit pouvoir faire abstraction de ces détails à dormir debout.

Aller de l'avant, voici un mot appris par mon maitre d'arme, tous les doutes s'évanouiront laissant place à la découverte de son prochain.
Et voila qu'elle prononça mon Nom d'empreint, puis se leva pour allez à mon encontre, en signe de bonne accueil je me levas aussi et pris sa mains lorsqu'elle me la tendit , j'y déposa un baiser en toute galanterie genoux à terre.


-Isandre? Quelle jolie nom avait vous là jeune demoiselle, et bien je suis ravie que mon nom traverse les horizons aussi.
Je me présente alors à vous , on me surnomme Zerow de tsaphar héritier du trône S,O,W....


La galanterie était comme une forme de politesse chez moi, le respect de mon prochain était un mot d'ordre dans les livres constituant mon âme.
Ma rage d'autrefois s'estompa, et ma délicatesse pris le dessus , lorsque je leva mon genoux posé à terre en me tenant droit et présentable.
J'offris à mon interlocutrice un endroit pour s'assoir en divulguant de nouvelle parole.

-Prenez donc une chaise ainsi nous pourrons discutés calmement si vous le souhaité bien sur ?
Il est rare de voir des gens discuter avec un Tsaphar , je ne suis pas philosophe mais je sais que notre race répugne cette planète....
Que le destin est cruelle......

D'un tons interrogateur je plongea une nouvelle fois mes yeux saphir dans les sien en attente d'une quelconque réponse.